Imaginée par Marc Silvestri, Wohl et Haberlin, elle rencontre un succès foudroyant, son dessinateur, Michael Turner devenant un des auteurs les plus populaires de l’époque.

Relique mystique dont l’origine se perd dans la nuit des temps, le Witchblade est né de l’union de l’Angelus -la lumière de la création- et du Darkness - pouvoir issu de l’ombre originelle qui règne sur l’univers. Tel un symbiote, il s’adapte aux besoins de son hôte et ne fusionne qu’avec des sujets féminins. Ses pulsions meurtrières sont terriblement difficiles à maîtriser.
Après des figures emblématiques de l’Histoire -Cléopâtre, Jeanne d’Arc- Sara Pezzini en est la dernière porteuse en date.

Les éditions Delcourt reprennent la série dans la collection Contrebande à partir du 23 avril 2008. Le T1, « Le Jeu de la mort », repart à l’épisode 70 de la série US. On y retrouve le dessinateur Francis Manapul (« Necromancer » et « 7 Guerrières », album qui sortira en mai 2008 chez Delcourt).

La renommée de ce comic book américain a largement dépassé les frontières puiqu’un manga a été créé en 2006, repris de nos jours chez Panini Comics sous le titre de « Witchblade Takeru ».
L’histoire a dévié vers celle d’une lycéenne japonaise à forte poitrine qui tombe sous l’emprise du Witchblade...

Witchblade (T1) Le Jeu de la mort
Delcourt
160 pages couleur - 14,95 €