Après « Planète Interdite », le film fondateur du space-opera moderne ressorti sur les écrans l’an passé, Madadayo Films, le distributeur cinéphile exhume une autre perle du cinéma de science fiction des années 50 : « Le Monde, la Chair et le Diable ».

Interprété par Harry Belafonte, la superbe Inger Stevens et Mel Ferrer, ce film post-apocalyptique de 1959 a, lui aussi, influencé durablement le genre.

Outre une référence à « Planète Interdite », par la biais d’une miniature de Robby le Robot posée sur une étagère d’une maison désertée, les fantasticophiles avertis penseront fortement à « The omega man / Le survivant » lorsque le héros, survivant lui aussi, chosit une voiture dans un magasin de la ville ou à « 28 jours plus tard » quand il erre seul dans les rues de New York et pénètre finalement dans une église abandonnée.

Profitant d’une copie neuve en version originale, le chef d’oeuvre de Ranald Mac Dougall débarque simultanément sur les écrans du Grand Action (5 rue des Ecoles, Paris 5ème) et du Mac Mahon (5 avenue Mac Mahon Paris 17ème) le 30 mai prchain.