Voilà quelques années, devant le refus de leur manuscrit, Anne Plichota et Cendrine Wolf ont crée les Éditions-du-Dehors pour publier le début de leur série Oksa Pollock.
Les jeunes lecteurs ont rapidement accroché aux aventures palpitantes de la jeune fille se découvrant des talents magiques. Ces fans, toujours plus nombreux, ont fait un tel tapage autour d’Oksa Pollock, s’insurgeant qu’aucun grand éditeur n’ait accepté de lui ouvrir ses portes, que leurs récriminations ont franchi les barrières éditoriales de XO Éditions.
Après trois volumes autoédités, en mars 2010 « L’Inespérée » a été publié sous une forme remaniée. Le 24 mai 2010, sa suite « La Forêt des Égarés » sortira pour le plus grand bonheur de ses lecteurs.
Mais loin de s’arrêter là, Oksa Pollock est promis à un très bel avenir.
Jugez-en plutôt :
Bernard Fixot, Président des Éditions XO et Thierry Desmichelle, Directeur général de SND, ont conclu un accord pour la cession des droits cinéma de la série Oksa Pollock d’Anne Plichota et Cendrine Wolf.
SND, société du Groupe M6, est actionnaire de SUMMIT Entertainment, producteur de Twilight.
La filiale du Groupe M6 a distribué en 2009 16 films au cinéma qui ont totalisé plus de 12,4 millions d’entrées en salles. Ce succès historique repose non seulement sur le lancement du film « Twilight » aux répercussions phénoménales - film tiré des ouvrages de Stephenie Meyer vendus à plus de 40 millions d’exemplaires dans le monde -, mais également sur les sorties réussies de nombreux films aussi divers que Prédictions, Underworld 3, The Reader, etc.
De plus, les droits de traduction de la série Oksa Pollock ont été achetés par l’Allemagne (Oetinger Verlag), l’Italie (Sperling & Kupfer), le Brésil (Suma de Letras) le Japon (Nishimura Co. Ltd), la Corée (Sodam & Taeil), la Pologne (Czarna Owca), la Turquie (Artemis) et sont en négociation avec l’Espagne et les États-Unis.
Décidément, Oksa Pollock semble suivre les traces d’un autre sorcier qui a conquis le monde…
À lire également sur la Yozone :
L’entretien avec Anne Plichota et Cendrine Wolf
la chronique de « L’Inespérée »
