« Violaine ouvrit le coffret de bois et en retira le mince ruban de velours vert qu’il renfermait. Du pouce, elle en savoura la douceur et le porta à ses narines pour en respirer le parfum.
Un léger arôme de fleurs séchées et de fruits mûrs s’en éleva. C’était désormais son seul lien avec Quentin, le fil fragile qui le conduirait jusqu’à elle… »
Ce quatrième volume vient conclure la tétralogie ésotérique et fantastique de Jean Molla.
Baalzébuth est sur le point de s’incarner sur Terre puisque sa statue est presque complète. Il ne lui manque que ses mains. Mais elles se trouvent sur la planète Gayian. Un endroit lugubre où Ba’Haï fait régner la terreur.
Les démons et les héros s’affrontent une nouvelle fois pour un final promis comme cataclysmique.
La plume de Jean Molla a su se mettre au service du fantastique durant trois volumes déjà et a sûrement conclu cette saga de manière grandiose.
Ouvrons une dernière fois les portes de l’enfer…
