« Années 50 à la Nouvelle-Orléans.
Josie Moraine, dix-sept ans, n’a pas tiré le gros lot. Fille d’une prostituée qui n’a rien d’une mère attentionnée, elle grandit dans une maison close du Quartier Français, celui de la mafia, des affaires louches et des gens sans avenir.
Pourtant, Josie a un rêve : quitter cette ville, surnommée The Big Easy et pourtant si peu easy, pour entrer à Smith, prestigieuse université du Massachussetts.
Impliquée dans une histoire de meurtre, dépouillée par sa mère et endettée, tout pousse la jeune fille à suivre, elle aussi, la voie de l’argent facile.
Mais Joe vaut beaucoup mieux que cela… et ceux qui l’aiment le savent bien. »
L’auteure américaine Ruta Sepetys avait publié en 2011 « Ce qu’ils n’ont pas pu nous prendre », un récit envoûtant sur l’histoire de sa famille aux prises avec l’horreur des goulags sibériens.
La presse n’a pas tari d’éloges :
« Un témoignage d’une puissance magistrale. » Lire
« Sa lecture laissera des traces. » Le Figaro Littéraire
« Un récit poignant et bouleversant. » Page des Libraires.
L’ouvrage a aussi récolté les prix : Prix Lire-RTL du meilleur roman jeunesse 2011, prix Historia 2012, prix Livrentête 2013.
Avec cette nouvelle épopée de 440 pages, l’auteure nous promet une histoire pleine d’action, de suspense et d’esprit ainsi que des personnages hauts en couleurs.
Une aventure qui commence ainsi :
« Ma mère est prostituée. Bon, il y a prostituée et prostituée. Disons que ce n’est pas le genre à faire le trottoir ; elle n’a rien d’une vulgaire fille des rues. Au contraire, elle est très jolie, porte de ravissants vêtements et s’exprime assez correctement. Mais elle couche avec des hommes contre de l’argent ou des cadeaux, ce qui, selon le dictionnaire, fait d’elle une prostituée. »
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