Lors du combat face à Totaku, la jeune Ryofu s’est sacrifiée pour offrir la victoire à Hakufu. Et quelle surprise quand cette dernière refait son apparition devant Ryomu. Cette dernière doit toujours lutter pour garder bien tranquille le dragon qui est en elle et son bandeau sur l’œil comprend un talisman permettant de sceller le fameux dragon. En fait, Ryomu est à la recherche de Saji, ce traitre qui fut l’amant de Ryofu et dont elle est amoureuse. Toutefois, les guerriers de Nanyo vont tout faire pour aider Ryofu, devenue amnésique en revenant parmi les vivants. Mais son retour aux sources ne se fera pas sans douleur et les combats ne vont pas manquer pour nos réincarnations des généraux des 3 Royaumes.
Nous voici revenus dans un monde où les vêtements sont aussi fragiles que du papier. Bienvenue dans l’univers d’« Ikki Tousen » pour une troisième saison. Nouveau réalisateur au commande de l’anime avec l’arrivée de Yuuji Shiozaki, non moins que l’auteur du manga du « Ikki Tousen » et de « Battle Club ». Alors quoi d’étonnant de retrouver nos héroïnes le plus souvent en petite tenue. Mais revenons au scénario... Euh s’il y a un scénario car les premiers épisodes laissent un peu dubitatif sur le pourquoi et le comment de l’histoire principale. On se doute que le récit tourne autour du retour de Ryofu mais incroyable le temps que l’on va passer sur l’amour lesbien de Kanu pour Gentoku. Car la terrible combattante de l’école Seito en pince pour la chef des guerriers du lycée. Elle va fantasmer sur la plantureuse jeune femme tout en se remettant en cause régulièrement, vue la concurrence importante. Son obsession va même prendre corps pour son plus grand malheur grâce à une gemme de révélation. Alors où veut nous emmener Shiozaki ? Dieu seul le sait et encore, on en est pas sur.
Graphiquement, rien à dire ! La plastique des demoiselles est impeccable et nous allons pouvoir savourer régulièrement les poitrines plus que plantureuses de Hakufu et Ryofu. Et surtout, les vêtements vont avoir une nouvelle particularité : seul le bas des T-Shirt est déchirable, histoire de laisser poindre le dessous de tous les seins de passage. J’exagère ? Je n’ai pas fait le chrono des scènes sans bas des vêtements mais on doit bien arriver à la moitié de chaque épisode. Doit-on s’en plaindre ? Pas vraiment car les combats gardent leur puissance, mais qu’est-ce que cela apporte ? Pas grand chose à part attiser les hormones de jeunes ados.
« Ikki Tousen, Great Guardians » nous laisse franchement sur notre fin et les petits OAV en bonus sont plus là pour les mêmes hormones des mêmes adolescents que pour apporter un véritable plus à l’histoire. Espérons que le flou sera moins artistique dans les prochains épisodes.
déconseillé aux - de 12 ans
Ikki Tousen, Great Guardians, volumes 1 et 2
Production : GENCO
Studio : GENCO ARMS
Réalisateur : Yuuji Shiozaki
Chara designer : Rin Shin
Compositeur : Yasuharu Takanashi
D’après l’œuvre de : Yuji Shiozaki
Directeur artistique : Shigemi Ikeda
2 DVD
Épisodes 1 à 6
DVD 9- Zone 2- pal
Format image : 16/9
Audio : Stéréo 2.0
Langue : Japonais – Français
Sous-titres : Français
Navigation : lecture des épisodes en bloc ou au choix
Éditeur : Kaze
Sortie : 3 février et 21 avril 2010
Prix public conseillé : 19,95 €
A lire sur la Yozone :
Ikki Tousen, intégrale de la saison 1
Ikki Tousen Dragon Destiny, volume 1 à 3
Ikki Tousen Dragon Destiny, volume 4
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